Lorsqu’une personne contracte une dette, quelle que soit son genre, crédit à la consommation, crédit auto ou crédit immobilier, elle dispose d’un délai imparti pendant lequel elle doit rembourser son dû selon les modalités fixées le non-remboursement d’une dette à l’échéance fixée entraine plusieurs conséquences, qui à terme, pourraient être préjudiciable à l’encontre de l’emprunteur. Voici quelques situations encombrantes qui risquent de vous poser encore plus de problèmes.
Un simple rappel à l’ordre
Lorsqu’un particulier contracte une dette auprès d’une institution financière par exemple, il sait le temps qu’il lui faut pour rembourser sa dette petit à petit. Il doit donc s’organiser pour n’avoir aucun manquement à ses engagements. Il est important de préciser que toute dette contractée engage le bénéficiaire de cette dernière à le rembourser sous peine de subir des répercussions. En ce qui concerne les institutions financières, elles se montrent souvent compréhensives lorsqu’elles constatent qu’il y a un manquement sur une mensualité. Conscient que les temps sont durs et que le particulier peut avoir des soucis financiers, elles ne sévissent pas dès qu’il y a un constat d’une absence de remboursement. Dans ce cas précis, un simple rappel est envoyé au concerné pour lui notifier de son retard de paiement. Elle considère ce retard comme un simple oubli et aucune sanction n’est prise à l’encontre du bénéficiaire.
Une mise en demeure
Les banques ne font pas dans la philanthropie. Lorsque les retards de paiement s’accumulent, elles sévissent. Une mise en demeure est alors envoyée au domicile de l’emprunteur. À partir de ce moment, l’emprunteur est fiché, son nom va apparaitre sur une liste de la Banque de France qui recense tous les incidents notés concernant les remboursements de dettes non effectués. Non seulement l’emprunteur qui se trouve dans cette situation devra s’acquitter d’une indemnité de retard en plus de la dette qu’il a à rembourser, mais en plus, il lui sera désormais difficile de pouvoir contracter à nouveau une dette auprès des autres banques, car ces dernières ont aussi accès au fichier de la Banque de France recensant les défauts de paiements.
Une injonction en justice
À partir de ce moment, les choses ne font plus que s’empirer. La banque peut et va intenter une poursuite judiciaire. C’est maintenant à la justice de se charger de ce cas qui aboutira aux saisies des biens de l’emprunteur pour rembourser sa dette. Ce sera aux huissiers de se charger du reste.