La Suisse, notamment la ville de Genève est aujourd’hui considérée comme étant le paradis de la prostitution. En effet, dans cette ville, les travailleurs du sexe sont protégés par les autorités et sont considérées comme étant des travailleurs indépendants ou exerçant une activité libérale.
La Suisse est une mine d’or pour la prostitution
Aujourd’hui, si tant de ressortissants de l’Union européenne qui exercent la prostitution se dirigent vers la Suisse, c’est parce que la nouvelle politique des contingents y est particulièrement avantageuse. En effet, dans cet État, la prostitution est considérée comme étant une profession libérale qui a donc droit à la protection policière. Les maquerelles et les jeunes escort girl s’assument complètement à Genève où le travail du sexe est un commerce comme tant d’autres. Prenons l’exemple de Madame Lisa, une mère maquerelle qui emploie une soixantaine de filles dans son salon. Parmi elles, près de 80% sont des Françaises. Le recrutement se fait par casting et les candidates reçoivent une formation exactement comme pour la majorité des postes. Les jeunes filles qui se prostituent en Suisse peuvent s’assurer un revenu assez confortable. Difficile ensuite pour la plupart d’entre elles, qui sont encore étudiantes, de renoncer à cette abondance pour un travail plus astreignant et moins lucratif.
Des chiffres qui parlent d’eux-mêmes
La prostitution est une profession largement répandue en Suisse. En effet, rien qu’à Genève, on recense 140 salons érotiques et une quarantaine d’agences d’escort girl. Cela fait donc un total de près de 7000 prostituées, qui pour la plupart sont des ressortissantes de l’étranger. Près d’un millier de filles de trottoirs exercent en même temps sur le terrain. Apparemment, ces chiffres sont en constante augmentation, notamment depuis que les ressortissants de l’Union européenne peuvent circuler librement à travers les pays membres. Ainsi, les Françaises et les Hongroises sont près de 1400 à Genève, tandis que les Espagnoles se regroupent plutôt dans le quartier des Pâquis. En effet, puisqu’en France la prostitution est entravée par une multitude de lois, les travailleuses du sexe ne tardent pas à voir si l’herbe n’est pas plus verte dans les pays voisins. Il est clair que dans ce domaine, la Suisse offre bien plus d’opportunités et moins de limitation que la France.
Le métier d’escort girl en Suisse
Nous vous l’avons dit, les escort girl en Suisse ont donc la possibilité d’exercer leur métier en toute légalité. Elles peuvent travailler aussi bien dans un salon de massage, dans une maison close, pour une agence ou à leur propre compte. Chacune de ces solutions a des avantages et des inconvénients. Par exemple, les tarifs ne seront pas les mêmes suivant la manière dont elles exercent. Cela va également dépendre de leurs pratiques. Si certaines escorts peuvent accepter les trios ou le BDSM, ce n’est pas le cas de toutes les femmes. De ce fait, la rémunération des escorts girls est très variable. Cela peut aller de 1 500 euros à plus de 4 000 euros par semaine !
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